De Jacques Lapeyre
J'ai bien connu Jean MABRUT puisque, en deuxième année, nous étions dans la même thurne 10. (Ci-contre photo de juillet 1957 Jean Mabrut est le premier à gauche). Il était entré à Piston en octobre 1954 avait fait une première année normale mais avait du redoubler la deuxième année, c'est ainsi qu'il a rejoint la promo 1958 en octobre 1956. Sa carrière s'est déroulée hors de France et ce fait il n'a pas eu de contact avec la promo pendant de nombreuses années.
Puis de retour en France, il a abandonné son métier d'ingénieur pour devenir hôtelier à Sanary et ce métier lui a laissé peu de loisirs pour participer aux activités de la promo. Ensuite il a décidé de fermer son hôtel et de le transformer en copropriété d'appartements privés.

Cette opération s'est déroulée avec un minimum d'entreprises Jean et Maria ont manié la truelle et autres outils pendant des mois pour faire tous les corps de métier ce qui les a encore empêché de participer aux activités de la promo.
En 2000 le voyage de la promo se déroulait en Provence. Jean Mabrut s'est alors manifesté et il est intervenu avec René Paul Piétri pour organiser la journée du dimanche dans les Calanques dont tous les participants gardent un merveilleux souvenir.
En 2007 il a pris l'initiative d'organiser un déjeuner chez lui qui a réuni les 4 provençaux de la thurne 10, lui-même, René Paul Piétri, Jean-Pierre Lescouret et moi-même avec nos épouses. Nous avons passé une journée magnifique et j'ai pu apprécier la culture et l'humour de notre camarade. Une photo de cette journée a été publiée en son temps sur le bulletin de la promo.
Jean nous a annoncé ce jour là son intention des participer aux 50èmes jubilants pour rattraper disait-il son déficit de participation aux activités promo. Jean et Maria furent donc de cette belle fête d'anniversaire à Versailles et Paris et au cours de la mini croisière sur la Seine la thurne 10 fut à nouveau reconstituée.
Jean était alors en pleine forme et le mal qui devait l'emporter n'avait pas encore commencé son ravage. Il a supporté sa maladie avec courage et résignation et il est parti sereinement m'ont dit son épouse et ses enfants.

Notre camarade Lucien BOIS est décédé.
Nous le savions malade depuis des années ce qui l'avait éloigné de nos manifestations de promo, mais nous espérions toujours une rémission.
Ses obsèques ont eu lieu le samedi 13 mai 2006 à Villars les Dombes.
La promotion était représentée par Jean Moyen et Michel Perrier.

Notre camarade Adjiman nous fait part du décès de son épouse Violette le 11 décembre 2005.
Jacques Lapeyre camarade de thurne d'Edouard Adjiman avait bien connu Violette dès l'année 1957; il a présenté ses condoléances à notre camarade.
Violette Adjiman était une artiste, sculpteur et peintre, son talent et ses œuvres sont exposées sur le site qu'elle avait créé,
http://www.violette-adjiman.com mentionné notre site promo depuis de nombreuses années
L'adresse de notre camarade :
Edouard ADJIMAN Les Arnauds 46100 FAYCELLES 05 65 14 07 98

Notre camarade Roger MIDY est décédé le 27 octobre 2005.
Nous le savions malade depuis des années ce qui l'avait éloigné de nos manifestations de promo, mais nous ne pensions pas que son état s'était si brutalement aggravé courant septembre.
Ses obsèques ont eu lieu le mercredi 2 novembre dans la plus stricte intimité familiale.

De Michel Hantz,

Nous étions ensemble en préparation à Louis le Grand, et conséquence, dans la même thurne en première année ECP. Que de souvenirs ! Nous les avons évoqués pour la dernière fois à Dijon, en 1998, en bavardant avec Hraïr Torossian.
Je me souviens d'une rentrée de Noël au baz Grand.
"Bonnes vacances Roger ?"
"Oui, j'ai pu remettre au propre tous les cours de maths du trimestre."
Il était comme celà, pince-sans-rire et plein d'humour, mais aussi, fort d'une conscience professionnelle extraordinaire.

de Hraïr Torossian

Dommage...Roger Midy était un très bon copain : nous avons fait ensemble une grande partie de notre service militaire tant en France qu'en Algérie et nous en avions gardé un très bon souvenir. Il m'avait tenu au courant de l'apparition de sa maladie et j'avais du mal à le croire condamné. Vraiment dommage...

Nous apprenons le décès survenu en 2004 au Liban de notre camarade Youssef ABOUNADER, à l'âge de 80 ans.

Franjieh EL KHOURY Administrateur à l'UNICNAM (antenne libanaise du CNAM qui avait été fondée en 1968 par notre camarade) nous apprend la nouvelle et nous dit de lui « il était un homme brave et il a bien montré ses responsabilités et ses compétences surtout durant les jours pénibles au cours de la guerre»

Information reçue parJacques Lapeyre le 21 janvier 2008

éloge funèbre de M.Hassan Awada

Bernadette PHILIZOT nous a appris le décès de notre camarade André le 19 février 2003
Il a commencé sa carrière à Grenoble à la C.S.F., puis a continué chez I.B.M. à Corbeilles jusqu'en 1970, date du décès de son père. Il a alors décidé de reprendre la concession Citroën fondée par ses grands-parents paternels à Corbigny, dans la Nièvre. Lors de notre dernière rencontre en 1998, à l'occasion de notre 40e anniversaire chez nos amis RANUNKEL dans le Morvan, il nous avait appris son intention de vendre son garage, chose faite l'an dernier.

Robert Labouze se souvient

J'apprends avec une grande tristesse le départ de notre camarade André, avec lequel j'ai fait un long parcours durant sa vie professionnelle. En effet, j'étais le commissaire aux comptes de sa société depuis de très nombreuses années jusqu'à la cession de mon cabinet en 1996. Dès qu'il avait une décision importante à prendre, il me demandait conseil en tant que commissaire aux comptes certes, mais également ensuite en tant qu'ami. Il a toujours été d'une droiture et d'une honnêteté sans pareil, ne prenant jamais aucun risque inutile, ayant le souci du futur pour toute sa famille. J'ai le souvenir d'un camarade toujours joyeux, avenant, mais rigoureux dans son comportement professionnel, à l'écoute des avis et conseils d'un commissaire aux comptes toujours soucieux de la pérennité de l'entreprise. Depuis que je suis à la retraite, je n'ai plus eu de ses nouvelles, et cette première et dernière nouvelle de lui m'attriste énormément, sachant malgré tout que nous entrons dans une période, où après le départ de nos parents, vient le départ de nos camarades. Ainsi va la vie !

MarcGarnaud

J'apprends le décès de notre camarade PHILIZOT. Comme peut-être beaucoup d'entre nous je ne le connaissais pas particulièrement, je me le remémore très bien quand même. Cela fait toujours un choc de voir disparaitre quelqu'un dont on a partagé une partie de l'existence. Ma pensée va à toute sa famille.

Michel DELEUZE nous a quitté brutalement le 14 mars 2003. André DENIS l'avait eu au téléphone fin janvier et Michel lui avait laissé entendre qu'il pourrait être présent à Bruxelles!
Toute sa carrière s'est déroulée dans la métallurgie, chez Tréfimétaux puis chez Cégédur/Péchiney. Retraité en octobre 1993, il négligea un peu ses travaux d'astronomie et se consacra corps et âme à sa nouvelle passion, les échecs. Il a fondé le club de Castrie, animé de nombreux tournois et formé les jeunes de son club.
Notre camarade s'était lancé un défi et l'avait réussi : refaire à pied depuis St Jean-Pied-de-Port le chemin de Compostelle.

René GOYON, Michel JOULIÉ et Yvon SOPHY ont assisté à ses obsèques.

Etienne GUITTON nous a quittés brutalement en avril 2002. Quelques jours auparavant, il jouait encore au bridge avec le talent qu'on lui connaissait. Nous avons présenté vos condoléances à Marie-Claude, très marquée par un départ aussi rapide.
Etienne a fait toute sa carrière aux ciments Lafarge.

Claude GAULT était son voisin de palier en troisième année à Citeaux, à l'étage des jeunes mariés.

Toutoune était en taupe avec moi à Poitiers, je l'avais déjà connu au lycée de Niort. Il jouait au rugby au Stade Niortais ainsi qu'avec l'équipe de Centrale . Nous garderons le contact avec Marie-Claude, qui se rappelle les exploits de Chuitton dans les ascenseurs et la fabrication des bombes à eau à base de carton d'épure. Et nous espérons qu'elle viendra nous parler d'Etienne lors d'une prochaine réunion de promo, nous serions tellement heureux d'évoquer sa mémoire.

Juin 2001
Laurence, la fille de notre camarade Jacques MALGORN nous informe du décès de son père le 31 décembre 1994 après avoir vu sa photo sur la page "Wanted" de notre site .

Elle nous écrit, "mon père a fait toute sa carrière dans l'industrie sidérurgique. Je crois me rappeler avoir vu dans un annuaire des anciens de Centrale qu'il vous avait transmis ses coordonnées lorsqu'il était en poste chez Pechiney-Ugine Kuhlman à Fos-sur-mer. Jusqu'en 1981, mon père a travaillé au sein de cette société en tant que directeur de cette unité puis il a pris un poste de direction générale dans l'industrie sidérurgique à Ham (80) de 1981 à 1984. Il a ensuite rejoint Tréfimétaux à Pont-de-Chéruy (38) ".

Jean Moinet se souvient :

Ainsi, je n'aurai jamais revu notre camarade Jacques Malgorn après notre sortie d'école et j'en ai beaucoup de peine. En première et deuxième année, je me trouvais dans la même turne que lui et ses condisciples de La Flèche, qui en parleraientt d'ailleurs certainement mieux que moi. Son surnom "Le Plouc" était arrivé avec eux, sans doute parce qu'il était un vrai breton. J'en garde le souvenir d'un garçon droit, sérieux, catholique fervent, et il était avant tout pour moi un chic copain. Je suis, comme tout le monde, très triste d'apprendre qu'il nous a quitté depuis six ans déjà sans que nous l'ayons appris. Malgré son éloignement et les années passées, ses anciens amis ne l'ont pas oublié."

Fouad DEBBAS est décédé brutalement à Beyrouth alors qu'il y préparait début 2001 son exposition de photos anciennes.

Qu'ajouter aux mots de Michel CHIRINIAN, adjoint au Maire d'Avignon : " Je n'arrive toujours pas à admettre le départ définitif de notre ami Fouad. Je croyais qu'il était là tout près alors qu'il nous avait déjà quitté. Il était l'élégance, le charme et la générosité avec en plus une merveilleuse culture générale. Soit un véritable aristocrate comme on souhaiterait en rencontrer. Si Dieu existe, il est près de Lui. C'est ce que je souhaite ". (message reçu par Jacques Lassignardie)

En pdf, les témoignages de Guy Béart, André Denis, Roger Goudeau, Jean-Claude Trutt affichés sur notre site en 2001.

Gérard Léprivier le 26 juin 1994,
Guy Rayrole le 27 juillet 1993,
Jean-Claude Paillas le 17 novembre 1992,
Pierre Bouvet (bulletin de septembre 1991)
Michel Gairard le 18 avril 1988,
Claude Buchholtzer (bulletin novembre 1987)